La destination souffre d’un positionnement jugé trop coûteux, entre fiscalité élevée, billets d’avion prohibitifs et incertitudes persistantes autour du retour du visa. Ces freins structurels ralentissent la croissance espérée.
Des inquiétudes bien réelles
- Vols trop chers et manque de liaisons vers les régions touristiques
- TVA de 18 % appliquée aux commissions Booking.com depuis octobre 2025
- Retour annoncé du visa
- Accessibilité insuffisante aux sites naturels
Yannick Philippe, directeur de l’Hôtel de la Poste et président des hôteliers de Saint-Louis, alerte : « Nous avons un aéroport flambant neuf… mais aucun vol dessus ! Pourquoi ne pas subventionner les compagnies, comme au Maroc ? » Il insiste également sur la logistique du Parc du Djoudj : « Il faut des routes et des bateaux adaptés ! »
Des aéroports régionaux à relancer
Le Cap-Skirring, désormais certifié, rouvre aux charters internationaux — une avancée pour la clientèle européenne. Mais ailleurs, les infrastructures attendent encore leur envol.
Et pourtant, l’espoir est là : une saison sèche idéale (novembre à mars) ; un patrimoine naturel exceptionnel, îles, fleuve, mangrove , dunes… une expérience culturelle et humaine unique, des acteurs mobilisés ; ne communication digitale en nette progression.
Perspectives : entre prudence et optimisme
Les professionnels du secteur identifient trois leviers prioritaires :
1. Amélioration de l’accessibilité aérienne
2. Allègement de la pression fiscale
3. Promotion équilibrée de toutes les régions
Si ces axes sont activés, la saison 2025-2026 pourrait surpasser les performances de l’année précédente.
Une saison à vivre ensemble
Entre investissements solidaires, montée en gamme, retours d’expériences rares et confiance renouvelée des visiteurs, le Sénégal ouvre une nouvelle page de son aventure touristique.
Au Sénégal, chaque saison est une invitation à la rencontre. L’aventure continue — et elle se partage.



5 novembre à 15:21, par Bureau
Je viens tous les ans avec mon épouse depuis 1991. Nous sommes maintenant résidents. Cette saison nous venons de payes pour arrivée le 27 octobre et un retour le 26 avril 2026 la sommes de 3780 euros compagnie air Sénégal. Paris cap Skirring. C’est une honte en plus pour cet aller le vol a été assurer par une compagnie affrète par air Sénégal ne parlant pas français avec un repas à bord pas de films et un service minimum. C’est une honte de payer si cher. Nous envisageons de ne plus jamais partir avec cette compagnie. C’est de pire en pire. Cordialement
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