
L’agriculture sénégalaise a connu des changements importants durant ces cinquante dernières années. D’une agriculture à l’origine vivrière et familiale, elle a été fortement orientée sur les cultures de rente (arachide et coton). La filière arachide, longtemps le moteur de l’économie sénégalaise, traverse une crise importante. La production augmente, en revanche, dans les filières céréales (l’arachide, le niébé, le mil, le riz et le maïs), fruits et légumes, et manioc, répondant à la demande locale croissante.
Avec le développement de l’irrigation, notamment dans la vallée du Fleuve Sénégal, les performances de la filière riz se sont améliorées. La production de mil, culture pluviale traditionnelle qui avait fortement régressé, est également en hausse dans un objectif d’autoconsommation et de commercialisation. Les micro et petites entreprises jouent un rôle central de valorisation de la production nationale à destination des marchés de consommation urbains.
Dans la grande majorité, les producteurs agricoles sont de petits exploitants qui cultivent la terre sur des régimes fonciers traditionnels et pratiquent des assolements traditionnels.
La plupart d’entre eux combinent cultures de rente (arachide coton) et cultures vivrières de subsistance (mil, sorgho, maïs), tout en possédant quelques animaux, en élevage extensif et, dans de plus rares cas, intensif associés aux cultures. L’horticulture se développe dans la zone des Niayes (le long du littoral) et dans les terres irriguées le long du fleuve Sénégal où la culture du riz s’est également fortement développée.
Le secteur de l’agriculture représente 16 % du PIB en 2017, alors qu’il n’était qu’à 7,1 % en 2012. C’est dire que le Sénégal a une grande tradition agricole et un secteur qui emploie près de la moitié de la population active.
Horticulture
Fruits et légumes
Les structures d’exploitation horticoles sont caractérisées par la prédominance des vergers et jardins de case et des exploitations privées. Les volumes de production, en forte croissance depuis 15 ans, sont estimés à plus de 600 000 tonnes. De 2000 à 2010, les exportations horticoles sont passées de moins de 1 000 tonnes à 35 000 tonnes. Elles sont estimées à 85 000 tonnes en 2014.
Production maraîchère
Le Sénégal produit des légumes de type européen/régions tempérées (chou, laitue, tomate, aubergine, haricot, melon, carottes, navet, pomme de terre, oignon, poivron blanc, etc.) et de type africain/régions chaudes (oseille de Guinée, gombo, aubergine amère, la patate douce, manioc etc.). L’étalement réussi de la production dans l’espace et dans le temps fait de la sous filière maraîchère une des composantes les plus porteuses et les plus dynamiques du secteur horticole.
La production horticole est concentrée principalement dans la bande littorale des Niayes et dans la vallée du fleuve Sénégal. La zone des Niayes (de Dakar à Saint-Louis) qui, est créditée de plus de 60 % des récoltes, fournit oignons, pommes de terre, carottes, chou vert, tomates cerises et de table, aubergines, laitue, piment alors que la vallée du fleuve avec ses immenses potentialités est spécialisée dans la production de tomates industrielles, d’oignons et de patates douces.
La production a aujourd’hui tendance à se diversifier géographiquement, en élargissant son bassin d’exploitation aux régions du bassin arachidier où on a assisté à une baisse de la surface consacrée à la culture arachidière et une diversification de la production notamment vers des spéculations horticoles notamment pendant l’hivernage (pastèques et diakhatou, mais aussi des oignons de la vallée du Koupango). A noter également dans la région de Kolda la zone de Pata plus spécialisée dans la production de piment.
Les légumes d’exportation sont généralement produits dans l’axe Dakar-Saint Louis du fait de la douceur du climat et de la proximité des infrastructures aéroportuaires.
L’essentiel des productions légumières provient des exploitations familiales, notamment en ce qui concerne les zones des Niayes (centre et nord), le bassin arachidier et la région naturelle de la Casamance. Il s’agit de petites exploitations où l’irrigation représente la principale occupation de la main d’œuvre et dans lesquelles le producteur est souvent confronté aux difficultés de financement de la production et de la qualité des intrants.
Ce système évolue dans les parcelles des périmètres villageois du long de la vallée et dans les exploitations des exportateurs du sud des Niayes, du lac Guiers et du Delta du fleuve Sénégal
Production fruitière
L’offre en fruits est constituée d’espèces de zone tempérée (agrumes) et surtout de fruits dits tropicaux : mangue, banane, ananas, papaye, etc. Les fruits sont essentiellement destinés au marché local, mais occupent de plus en plus la place dans les exportations avec un créneau de production très favorable pour la mangue (mai-juillet).
L’essentiel de la production fruitière du Sénégal provient de la région de la Casamance et de la région de Thiès.
Les régions de Ziguinchor et Kolda sont caractérisées par une importante production de bananes (périmètres communs avec plusieurs exploitants autour d’une unique source d’eau), d’agrumes, de mangues, d’oranges, de mandarines, de papayes, de citrons, de goyaves,
La zone de Thiès et Dakar est la seconde zone de production de fruits, avec environ 10 à 15 % de la production nationale. Elle est surtout spécialisée dans les productions d’agrumes et mangues.
À l’Est du Sénégal (région de Tambacounda), la production fruitière se résume à la culture du bananier au sein de certains périmètres fruitiers.
Les produits de cueillette occupent également une place de choix dans le commerce et la consommation. Ils sont récoltés généralement dans les forêts de Casamance et du Sénégal oriental (même si certaines espèces sont présentes un peu partout sur le territoire national) : tamarin, pain de singe (fruits du baobab), madd, jujube, ditakh, etc.
Mil, maïs, sorgho
Cultures pluviales (mil, mais, sorgho, fonio)
Les principales céréales cultivées sous pluie au Sénégal sont le mil, le sorgho et le maïs,. Les régions de production se situent au centre (Bassin arachidier) et au sud du pays (Casamance, Tambacounda).
Le mil à chandelle ou mil pénicillaire est la principale culture céréalière du Sénégal. Il tolère la sécheresse, un faible niveau de fertilité des sols et des températures élevées. Il est cultivé principalement au centre du pays couvrant les régions de Kaolack, de Louga, de Diourbel, de Thiès et dans la région de Tambacounda.
Le sorgho est produit à l’est du bassin arachidier, au Sud dans la région de Kolda, notamment dans le département de vélingara et dans la Vallée du fleuve Sénégal en raison des habitudes alimentaires des ménages ruraux de ces zones.
La culture du maïs, plus exigeante en eau, se développe principalement dans les régions de Tambacounda, de Kolda et de Kaolack. Le programme « maïs » initié en 2003 par le gouvernement avait diffusé la culture dans toutes régions du Sénégal mais l’effet recherché n’a pas été atteint. Les importations de maïs sont encore élevées notamment pour répondre aux besoins de l’alimentation animale (12 milliards FCFA en 2009). La production est de 45 000 tonnes en 2018.

Le fonio reste quant à lui concentré dans les régions de Tambacounda et de Kolda avec des productions encore faibles (4 000 tonnes par an). Cependant cette culture présente de sérieuses potentialités compte tenu de ses nombreuses caractéristiques et des nouvelles initiatives au niveau régional pour en faire une culture de rente.
La production annuelle de mil (et sorgho) varie autour de 1 000 000 tonnes en 2018, avec des rendements moyens faibles de l’ordre de 630 kg/ha sur les quinze dernières années. La faiblesse des rendements est liée à un épuisement des sols et à un apport faible d’engrais (réservé plutôt à l’arachide), à la baisse de la pluviométrie, à des maladies (mildiou, charbon et ergo), des insectes (mineuses, foreurs et cantharides), des mauvaises herbes (striga hemonithica) mais également à la faible utilisation de technologies appropriées.
Le mil est la base de l’alimentation des ménages ruraux dans le bassin arachidier malgré une percée notable du riz dans les habitudes alimentaires. Il est consommé essentiellement sous forme de coucous, de bouillies à base de farine ou de semoule. Le mil est donc avant tout une culture vivrière mais qui tend à devenir également une culture de rente en raison d’une demande importante des zones agricoles déficitaires et de la capitale Dakar où sa consommation, après avoir fortement décliné, semble reprendre grâce à la mise en marché de produits plus rapides et faciles à préparer proposés par des petites entreprises.
Riz
Riz, principale culture irriguée
Le riz est l’aliment de base des sénégalais. Il s’est fortement substitué aux céréales locales (mil sorgho, maïs), en milieu urbain mais aussi en milieu rural et représente aujourd’hui plus de 50 % de la consommation des ménages en céréales. Les ménages dépensent en moyenne 8 % de leurs revenus dans l’achat du riz. Les Sénégalais consomment surtout du riz brisé auquel ils se sont habitués depuis la colonisation (importation des sous-produits de la transformation du riz d’Asie).

Le système de production irrigué est pratiqué dans la vallée du fleuve Sénégal (au Nord) où d’importants investissements ont été réalisés depuis 40 ans et dans le bassin de l’Anambé (au Sud). Le potentiel du pays en terres irrigables est de 240 000 ha dans la vallée du fleuve Sénégal et d’environ 16 000 ha dans le bassin de l’Anambé. Les superficies aménagées représentent moins de 3 % du potentiel irrigable. Le riz pluvial se retrouve dans les régions de Ziguinchor, de Kolda et marginalement de Tambacounda.
La production a progressé ces dernières années passant de 190 500 tonnes de paddy en 2006 à plus d’1,1 millions de tonnes en 2018, soit 626 000 tonnes de riz blanc environ. Les effets cumulés d’une augmentation des superficies emblavées (par des investissements massifs dans les ouvrages hydro-agricoles), de l’intensité culturale et des rendements sont à l’origine de cette augmentation.
Cependant la production locale reste en deçà de la demande et ne couvre que 30 % des besoins. Les importations de riz ont progressé à un rythme de 5 % par an depuis 1990. Elles varient aujourd’hui entre 500 000 et 650 000 tonnes par an, entraînent des sorties de devises de près de 200 milliards CFA.
Arachide, coton
L’arachide
Introduite dès le XVIe siècle par les navigateurs portugais, la culture de l’arachide a profondément marqué l’économie du pays. Au début des années 60, le Sénégal était le premier exportateur mondial d’arachide. Aujourd’hui, elle compte parmi les quatre premiers produits d’exportation du Sénégal, avec la pêche, les phosphates et le tourisme et occupe directement ou indirectement au moins 4 millions de Sénégalais.
La filière traverse une crise importante qui s’est traduite par une baisse de la production due aux différentes politiques agricoles, aux fluctuations du marché, à la vétusté du matériel agricole, à la dégradation des sols et du capital semencier, à la baisse de la pluviométrie et aux changements climatiques. Elle continue d’occuper une place importante dans l’économie sénégalaise et demeure la principale culture du bassin arachidier.

La production est passée d’un niveau record de 1 434 147 tonnes en 1976 à 261 000 tonnes en 2002/2003. Cette tendance à la baisse se maintient jusqu’en 2007. Entre 2007 et 2010, la production d’arachide d’huilerie a presque quadruplé passant 331 000 à 1 290 000 tonnes grâce à l’extension des superficies emblavées pour la culture de l’arachide d’huilerie. La production 2017/2018 est de 1 400 000 tonnes.
L’arachide est restée une culture vivrière, jouant un rôle important dans l’alimentation des ménages producteurs puisqu’on estime selon les années que seulement 16 à 30 % de la production est commercialisée.
Le Sénégal est devenu le deuxième exportateur africain derrière le Nigeria mais se situe loin derrière les principaux exportateurs mondiaux actuels représentés par la Chine, l’Inde et les États-Unis. Les produits arachidiers ne représentaient plus que 4 % des exportations en 2011, ce qui est très loin du record de 80 % que représentait l’arachide dans les exportations à l’indépendance.
Coton
La zone de production du coton est concentrée au sud du pays dans les
régions de Tambacounda, de Kolda, et du sud des régions de Fatick et de Kaolack.
Il s’agit d’une filière structurée autour de la Fédération nationale des producteurs de coton (FNPC), représentant plus de 20 000 exploitations familiales et de la Sodefitex qui dispose de cinq usines d’égrenage à Kahone, Kédougou, Tambacounda, Vélingara et Kolda.
La production en 2017/2018 est de 20 000 tonnes de graine de coton. Le coton est le 10e produit d’exportation du Sénégal
Élevage
Production animale
Le cheptel est estimé en 2016 à 3 541 000 bovins, 6 678 000 ovins, 5 704 000 caprins, 423 000 porcins, 557 000 équins, 471 000 asins et 5 000 camelins, soit 17 millions de têtes.
L’exploitation du cheptel reste néanmoins dominée par des modes extensifs de conduite des troupeaux. Selon la situation agro-écologique du pays, on peut distinguer trois systèmes d’élevage bovin et ovin :
- un système pastoral (élevage extensif transhumants ou semi-transhumant) localisé notamment dans la zone sylvo-pastorale mais également dans une partie du bassin arachidier, avec des troupeaux relativement importants de bovins et de petits ruminants, conduits en mode extensif sur les parcours naturels, avec une mobilité de faible à moyenne amplitude ;
- un système agropastoral dans le bassin arachidier, la vallée du fleuve Sénégal et au sud et sud-est du pays avec des troupeaux de bovins et d’ovins de plus petite taille qui bénéficient pour certains d’un alimentation complémentaire (fanes d’arachide, tourteaux et parfois concentrés pour les ovins notamment), ces zones accueillent également les troupeaux transhumants en provenance du nord .
- un système intensif ou semi-intensif, d’embouche bovine ou de production laitière (stabulation permanente ou temporaire durant quelques mois), localisé dans les zones urbaines ou péri-urbaines mais également dans certains villages du bassin arachidier.
L’élevage bovin et petits ruminants, activité importante en milieu rural, répond plus à une logique d’épargne et de prestige social que d’exploitation économique. C’est une des raisons majeures qui explique le faible taux d’exploitation du bétail.
En 2016, le Sénégal a importé 330 000 moutons pour la Tabaski.
La production laitière est estimée à 231 millions de litres de lait en 2016, alors que les importations totales de produits laitiers sont de 30 000 millions de tonnes la même année.
Filière avicole
Les effectifs de la filière avicole sont estimés annuellement à plus de 23 millions de têtes pour la volaille traditionnelle et 20 millions de têtes pour la volaille industrielle pour une production d’œufs de 500 millions d’unités.
Les effectifs de la filière avicole se sont établis en 2016 à 64,5 millions de têtes, dont 27 millions de volaille familiale et 37,5 de volaille industrielle
Le nombre d’unités d’œufs est évalué à 615 millions en 2016.
Quelques chiffres
Superficies emblavées des principales cultures Sénégal
Culture | 2012/2013 | 2011/2012 | Moyenne des 5 dernières années |
---|---|---|---|
Céréales | 1 226 823 | 1 136 916 | 1354 919 |
Arachide | 708 956 | 865 770 | 912 895 |
Niébé | 129 206 | 94 530 | 195 484 |
Manioc | 23 600 | 20 672 | 50 308 |
Pastèque | 16 582 | 13 940 | 17 955 |
Coton | 33 694 | 26 643 | 30 529 |
Sésame | 11 319 | 8 295 | 23 355 |
Autres | 10 380 | 16 233 | 15 016 |
TOTAL | 2 160 560 | 2 182 963 | 2 604 478 |
Production (tonnes) des principales cultures
Spéculation | 2014 | 2013 | 2012 |
---|---|---|---|
Mil | 662 614 | 480 759 | |
Sorgho | 137 574 | 86 865 | |
Maïs | 238 423 | 124 092 | |
Riz paddy* | 631 000 | 469 649 | 405 824 |
Fonio | 1 497 | 1 735 | |
Arachide | 692 572 | 527 528 | |
Coton graine | 32 248 | 25 367 | |
Manioc | 189 469 | 154 879 | |
Niébé | 55 015 | 28 110 | |
Sésame | 5 291 | 3 655 | |
Pastèque | 182 132 | 148 683 | |
Total légumes | 740 000 | ||
Total fruits | 258 000 | ||
Viande ovine | - | - | 19 000 t |
Viande bovine | - | 87 300 | |
Viande caprine | - | - | 12 900 t |
Oeufs | - | - | 500 millions |
* On estime à 65 % la proportion de riz blanc par rapport au riz paddy
Productions maraîchères et fruitières
Produits | Production 2017 (tonnes) |
---|---|
Oignons | 400 000 |
Pommes de terre | 118 783 |
Tomates | 138 000 |
Melons | 28 000 |
Haricots | 18 700 |
Choux | 76 116 |
Gombos | 14 500 |
Ignames | 72 000 |
Carottes | 16 000 |
Mangues | 132 000 |
Bananes | 30 000 |
Citrons | 45 000 |
Source : FAO stats
Voir aussi
26 octobre 2012 à 06:40, par PUIROUX - ASF
AGRO SANS FRONTIERE est présent au Sénégal afin d’apporter une assistance (Conseils et formations) Agronomique et en Agriculture auprès des producteurs, des coopératives, et des familles paysannes, ansi que pour accompagner des créateurs d’espaces de cultures.
ASF propose d’accompagner la mise en place de Jardins Familiaux, et de périmètres maraîchers durables, grâce à des processus, des techniques et des outils adaptés aux Cultures maraîchères ou aux grandes cultures vivrières.
contact ASF Senegal : agrosansfrontiere_senegal yahoo.fr
Contact ASF international : agrosansfrontiere44 gmail.com
tel Senegal : +221 774 417 906
22 décembre 2014 à 14:55, par Boubacar Coulibaly
je suis Etudiant en master II Géographie, option Gestion et Développement des Espaces Ruraux à l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar. Je travaille sur un sujet qui est en rapport avec l’agriculture c’est-à dire l’étude des systèmes de production agricole dans la région de Matam plus précisément sur la vallée du fleuve Sénégal à une échelle villageoise : le terroir de Adabéré. J’ai besoin de conseil et d’orientation et d’appui pour atteindre mon objectif et de participer au développement des espaces ruraux. Merci cordialement.... contacts : 00221 77 551 76 26 ou E-mail : bascoulibaly25 live.fr
Répondre
31 août 2012 à 22:22, par Moda GUEYE
Je suis agronome établi au Sénégal à Thies et je gere une société qui fait de la formation et du suivi de perimetre maraichers. Pour les gens qui desirent se lancer dans un projet agricole, un conseil c’est faites vous accompagner pour des professionnel. jts-concept.com. Mon moda.gueye jtssenegal.com.
20 octobre 2012 à 15:17, par AGRICULTURE AU SENEGAL
slt veuillez visiter www.agriculture-au-senegal.blogspot.com
pour toute l’actualité agricole du senegal
merci
25 février 2014 à 23:04
Bonjour je suis une femme et jaimerais me lancer ds l agriculture j aurais besoin de vos conseils
Répondre
18 juillet 2012 à 12:03, par khalifa ababacar bodiang
je voudrais savoir a partir de quelle datr et quel moment la filiere arachide a commence a subir un declin
27 juillet 2012 à 10:36, par madi
Bonjour,
Y aurait il des personnes qui se sont lancé dans l’agriculture et qui pourraient nous faire un retour. Est ce cela a marché, les difficultés rencontrées, les bonnes et/ou mauvaises surprises.
Je vous remercie
Répondre
18 juin 2012 à 16:00, par BENCHARIF
Je suis ingénieur agronome agé de 61 ans. Je souhaite investir au Sénégal dans les cultures du blé, de la pomme de terre, des fourrages.... Quelles sont les opportunités dans ce domaine ? L’accès aux terres est-il permis aux étrangers ? Quelles sont les modalités ? Le matériel agricole est-il disponible ou faut-il l’importer ? De même pour les intrants (semences, engrais ...) ? J’aimerai bien être informé sur toutes les possibilités. Merci.
30 juin 2012 à 12:48, par DIJA
Bonjour,
votre annonce a retenu toute mon attention. Je suis une jeune dame qui désire reprendre les affaires agricoles de mon père. On a déjà du matériel : tracteurs et quelques accessoires sur place et un champs de cultures maraîchères. j’aimerai beaucoup si ça peut vous intéressé me mettre en association avec quelqu’un comme vous qui a une formation agricole et qui désire investir dans une petite entreprise familiale pérenne ayant des employés avec une expérience solide.
Si vous êtes intéressé faites moi signe ici.
Cela nous permettra de nous agrandir car comme vous devait le savoir les financements font défaut dans notre pays et pour vous ce sera une première expérience avant de vous lancer seul.
Je suis actuellement en France mais je serais au Senegal au mois de novembre
14 août 2012 à 22:46
BONSOIR
Je suis interréssé par votre projet je serais au Sénégal en Novembre 2012 tel 0672019818
7 septembre 2012 à 15:12, par taga
Bonjour BenCharif,
Je suis cadre en transport Logistique mais ayant grandi dans une familli d’agronomes et d’agriculteurs. Je suis en train de me « lancer » dans ce type de projet. Si ça vous intéresse et que ce n’est pas tard, merci me répondre directement sur : mountaga.diao gmail.com. Nous pourrions échanger un peu plus !
2 mai 2013 à 02:23, par khady
Bonjour Dija
je suis une jeune dame qui a pour projet de m’investir dans le domaine de l’agriculture.
si vous cherchez toujours des partenaires, je suis ouverte à cette idée, faites moi signe.
je suis sénégalaise résidant au canada et actuellement je suis au sénégal en congé maternité.
mon tel 77 049 59 75
10 janvier 2014 à 11:57, par Soundiata
les opportunités sont enormes l’acccé à ces terres sont possibles concernant les intrants et les machines agricoles ne vous en faites pas vous trouverai ici au senegal des sociétes spécialisées pour ça
18 janvier 2014 à 02:48
Bonsoir,je désirerais savoir si votre projet,surtout celui concernant la culture de blé à pris forme depuis le moment de votre annonce.Je suis une Francaise de quarente et un ans,sans aucune formation agricole car il n’y à que très peu de temps que je m’interresse à ce sujet et suis toujours en quête de formation,ce qui n’est pas facile car toutes celles que j’ai pu essayer depuis trois ans que je vis au Sénégal demandaient un fort bagage scientifique( et je suis littéraire,ex prof d’espagnol).j’en suis donc toujours aux tâtonnements,mais l’idée de cultiver du blé ici fut l’une de mes premières idées,idée persistante d’ailleurs,raison pour laquelle je me permets de vous écrire:tous conseils,récits de vos essais ,de vos échecs ou vos réussites,du lieu précis au Sénégal où vous les avez menés etc,m’interressent grandement !!!,,Mon email:richaletmarie_laurence yahoo.fr
9 juillet 2014 à 10:15, par Diatta
je viens d’obtenir mon diplôme :dairy husbandry and milk processing au Pays Bas (Dairy training Center à Oenkerk). je suis porteur de projet sur la transformation laitiére et je souhaite travaillé au senegal. je suis à la recherche de partenaires pour exécution du projet. Je serai au Senegal mi juillet . contact +31684342876 ; 77 542 33 81 ;
30 juillet 2015 à 17:10, par ASSANE BA
Bonjour je étudiant en technologie alimentaire niveau licence2 ayant la même idée de projet que vous ainsi que deux deux de mes camarades.on vous souhaite donc la bien venue
Répondre
28 mai 2012 à 16:22
Bonjour,
Nous sommes 2 étudiants en ingénierie financière.
Nous travaillons sur un projet visant à étudier les stratégies de couvertures les plus adaptées pour couvrir les risques dûs à la forte volatilité des prix pour une banque de céréales(mil) au Sénégal.
Ce projet est encadré par Denis DUPRE qui a participé au projet de coopérative paysanne au Sénégal organisé par l’Union des Groupements Paysans de Mécké.
Dans ce contexte, nous cherchons avec difficultés l’historique des prix du mil au Sénégal (sur 5 ou 10 ans).
Ces données nous permettront de trouver des moyens de couverture pour que les coopératives agricoles puissent avoir des prix stabilisés malgré les variations des prix (contrer la forte volatilité des matières premières agricole).
Si quelqu’un pourrait nous faire parvenir ces historiques des prix du mil au Sénégal sur une période de 5 à 10 ans cela nous serait d’une grande utilité.
Merci beaucoup de me répondre si vous avez des informations à ce sujet : Quentin.Jacolot yahoo.fr
Cordialement,
Quentin
Répondre
14 avril 2012 à 13:25, par safi diouf
bonjour c’est vraiment extraordinaire se k nous avons kom ressource a exploiter l’agriculture peut faire le developpement de notr pays si nous cherchons les moyens et k nous la prenons en mains ca ma vraimen enrichi et ma motivé a avoir une idée de projet k jaimerai realisé apré ma formation merci pour toutes ces informations
Répondre
29 mars 2012 à 10:21, par Mama Samba Mballo
Bonjour cette article m’a permis d’avoire un aperçu sur les contraintes de l’agriculture sénégalaise et le role que cette dernière joue dans la croissance économique de notre pays. En outre elle m’a premis également d’acquérir des connaissances sur mon thème de mémoire portant sur l’agriculture et développement du sénégal.
2 avril 2012 à 13:12, par M.diedhiou
j suis technicien agricole,je profite de cette occasion pour porter ma voie aupres de tous les passionnés du secteur agricole.simplement il est admis jusqu ici les senegalais que ignorent : les principes de base d un deveoppement économique, passe ineluctablement par une production de qualité et de quantité des besoins de consommation. cela temoigne la maitraise des techniques de la production agricole une question que l Etat senegalais doit prendre en charge en assurant la qualité de la formation et la modernisation du secteur agricole. on a les ressources naturelles , ce qui manquent ce sont les mécanismes qui concourent à une exploitation rationnelle des ces potentialités en place.
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11 octobre 2011 à 11:55, par Kalipha
L’agriculture pluviale n’est pas autosuffisante d’un point de vue alimentaire et est trop aléatoire. Elle ne fournit pas non plus une variété de légumes et fruits indispensables à une alimentation équilibrée qui participe à une bonne croissance et à une bonne santé. C’est la raison pour laquelle, nous développons depuis 10 ans un maraîchage dans notre village. Nous sommes en association. Nous participons bénévolement à des tâches collectives et chaque femme a une ou plusieurs planches. cela a beaucoup changé notre quotidien : nous consommons des fruits et légumes qui nous étaient interdits et introuvables. Le consommation en famille et la vente sur les marchés de notre village a amélioré les conditions des maraichères. Nous sommes actuellement à édifier un centre de formation pour partager nos savoir faire et notre expérience avec les villages de notre communauté rurale et plus particulièrement avec les groupements féminins. Kalipha 776430395
www.colibantan.asso.fr
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26 juillet 2011 à 06:25, par Aliou
bonjour je suis sénégalais vivant en France, avec certains collègues nous réfléchissons en ce moment à comment améliorer l’agriculture sénégalaise. dont j’aimerai bien savoir à quoi consiste votre projet. avez vous une idée ou vision d’amélioration de l’agriculture au Sénégal ? merci M. Diouara Aliou
9 janvier 2012 à 14:39, par magnan
Bonjour,
Je m’intéresse au même sujet que vous et suis résident en France. J’aimerais entrer en contact avec vous. Pouvez-vous me communiquer votre mel.
Merci.
13 janvier 2012 à 09:19
Bonjour M, je me nomme Abdourahmane BA Technicien en Electromcanique et étudiant en réseau-télécommunication. Avec des amis nous avons un projet sur l’agriculture audacieux. J’aimerai avoir votre e-mail pour vous l’exposé.
Merci.
21 février 2012 à 17:19, par coumba niane
Bonjour
Moi aussi j’aimerais entrer en contact avec vous.
Car je voudrais vous connaitre je suis élève au Sénégal en classe de 6eme.Mais avant de quitter je voudrais connaitre votre nom et prénom car je veut être ton nouveau amie.Et toi tu veut être mon amie .
7 septembre 2012 à 15:06, par taga
Bonjour M Ba,
Votre idée m’intéresse et ....m’intrigue un peu je l’avoue.
Merci me répondre sur mountaga.diao gmail.com et nous pourrions échanger. J’ai quelques idées, et je voudrais me « lancer » dans l’agriculture...
13 janvier 2014 à 22:39, par AGROSEN
Bonjour M BA, je suis ingénieur agronome et Directeur d’une entreprise spécialise dans l’accopagnement de la création d’entreprises agricoles, l’étude de projet, l’accopagnment dans les marchés d’export, l’installation de matéireil d’irrigation...
merci de me contacter aux adresses suivantes our discuter sur votre projet :
agrosenkl gmail.com ou sarrbass3 yahoo.fr
Merci d’avance
19 avril 2015 à 15:26
slt je suis interessé par votre projet actuellement je suis en ma dernière année de formation en ingénierie du développement territorial si sa vous intéresse fait moi signe.....merci
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19 janvier 2011 à 12:48, par Mamadou L S
Madame, Monsieur
J’ai un projet concernant la clôture d’une superficie d’environ 40 hectares en 5 lieux différents en haie vives à partir d’arbres épineux comme les espèces d’acacia meliffera ou autres.
A ce jour je ne sais toujours pas ni où et comment me procurer soir en pépinière ou en graine afin de procéder à la culture de pépinière moi-même.
Je fais appel aux expériences de certains d’entre vous pour me donner soit des adresses ou conseil afin de mener à bien mon projet.
Mon e-mail : m.souare laposte.net
Je vous remercie par avance.
23 février 2014 à 16:05, par technicien agricole
merci contacter sur ce mail a.sall gds.sn
21 août 2014 à 12:06
Vous pouvez me contacter basidy outlook.fr
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