La population sénégalaise croit à une rythme rapide. Elle est passée de 12 millions à 18 millions d’habitants avec un densité de 93%. Les moins de 20 ans représentent 55 % de cette population dont le taux annuel de croissance est de 3,8 % à 4 %.
Dakar compte environ 3 millions d’habitants. Viennent ensuite par ordre d’importance Thiès et Kaolack, puis Saint-Louis, Rufisque, Ziguinchor et Diourbel.
Estimation de la population du Sénégal en 2023 : 18 275 743
Les peuples du Sénégal
Les Wolofs sont les plus nombreux (43,3 %), présents surtout dans l’ouest du pays (Ndiambour au Cayor, Waalo, Baol, Djolof, Saloum), dans le bassin arachidier du centre-ouest et particulièrement dans les grands centres urbains. Agriculteurs et commerçants, de confession musulmane pour la plupart.- Saint Louis. Les Lébous, établis en communautés de pêcheurs dans la presqu’île du Cap-Vert et à Saint Louis leurs sont apparentés. La langue wolof est parlée par les trois-quarts de la population
Les Haalpulaar (25 %), constituent le second groupe, composés de Foulbés, Peuls et Toucouleurs. On constate leur présence sur une partie du territoire national plus étendue que les Wolofs, mais il s’agit le plus souvent de régions peu peuplées, comme le Ferlo, la Haute-Casamance, la vallée du fleuve Sénégal, surtout peuplée par les Toucouleurs. Ils sont très actifs dans les domaines du commerce, de l’élevage et de l’agriculture. Ils peuplent la vallée du fleuve Sénégal ainsi que la zone du Ferlo.
Les Sérères (20 %) sont moins dispersés que les autres ethnies. On les retrouve dans le Sine-Saloum, le long de la Petite-Côte, le centre du pays et au nord-ouest de la Gambie. Chez les Sérères il y a d’importantes communautés chrétiennes, mais l’islam est majoritaire. Ils ont conservé néanmoins certains aspects de leur religion traditionnelle.
Les Diolas (8 %) se retrouvent en Casamance, mais aussi en Gambie et en Guinée-Bissau. ils pratiquent surtout la riziculture et la pêche. De religion traditionnelle, ils ont résisté plus que d’autres à la pénétration de l’islam et du christianisme et continuent de défendre leur identité. Aujourd’hui ils sont aussi souvent musulmans que chrétiens, tout en y mêlant leurs croyances traditionnelles.
D’autres peuples sont établis dans la même région. Leur mode de vie est assez semblable à celui des Diolas, mais ils s’en distinguent par leurs langues et sont très minoritaires. On a les Mandingues au Sénégal Oriental, les Soninkés très présents à l’est du pays et dans les zones limitrophes du Mali et de la Mauritanie, les Bassari et Bédik vivant surtout de la culture du mil et du maïs, de la cueillette et de la chasse, entre la frontière guinéenne et les limites du parc national de Niokolo-Koba.
Principaux indicateurs de la population du Sénégal
Taux d’urbanisation en % | 44 |
Habitants de Dakar | 23,5 % |
Habitants des autres villes | 20,3 % |
Habitants des zones rurales | 56,2 % |
Population totale des femmes (en 2023, ANSD) | 9 184 886 |
Population totale des hommes (en 2023, ANSD) | 9 090 887 |
Taux d’accroissement intercensitaire | 2,5 % |
Population âgée de moins de 20 ans | 54 % |
Nombre moyen de personnes par ménage | 9 |
Espérance de vie à la naissance (années) 2022 | 68,7 |
Taux d’analphabétisme en % année 2018/2019 | 63,1 |
27 octobre 2014 à 02:50, par Tonton Makoute
Le problème de ce forum c’est pas les commentateurs mais la source d’info qui a fourni ces infos. Elles sont loin d’être correctes.
13 novembre 2014 à 17:25, par ousmane
Incorrect il faut bien corriger,,,,les wolof me son pas 35% de la population su Senegal......vous voulez diré que les wolof sonr plus nombreux aux Senegal,,,sa c faux,,,le Senegal tous parle wolof ,,,faut pas compter se parle wolof,,,,,il faut compter se qui son wolof,,,,,,,faut pas mentir pour tout .....
30 juin 2015 à 22:27, par djiby
Ta raison les wolofs ne sont pas le plus nombreux au Sénégal, si on arrêtait de mentir et qu’on disent la vérité ,ce sont les peulh les plus nombreux au Sénégal.car quand vous vérifier bien 1/4 des wolofs sont des peulhs ou des serreres qui refusé d’admettre la vérité.en tout cas il y’a pas un wolof qui n’est pas lié à un peulh ou un serreres.vous même vous le savez
28 janvier 2016 à 01:01, par Djibril
il faut qu’ont soit sérieux avec nous même si ont décide de recenser sans aucune forme de discrimination que l’on choisisse les périodes ou les nomades de quelques ethnies soient ils sont sédentaires et que ce qui sont formés pour recensé ne mélange pas la langue parlé et l’ethnie
7 novembre 2021 à 07:26, par Abdoul Oumar Diallo
Merci beaucoup frère, je précise aussi que le toucouleur n’existe pas, c’est juste la déformation de tekrur qui se trouve être le royaume du Fouta Toro. D’autres chercheurs disent même que c’est la modification de takrur, une ethnie du Soudan similaire au peul. Les wolofs ne sont majoritaires que de langue mais minoritaires en nombre.
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11 juillet 2014 à 16:34, par Abdou
Je conteste les chiffres de 50000 soninkes au senegal, a bakel 15000, diawara 12000,mouderi 10000, et les 20 autres villages et ensuite le fouta dembacanni, waounde et tant d’autres, il ya combien de soninkes a Dakar il ya combien de soninkes (Sarakholé) en casamance ? le probleme est qu’au senegal il ya 2 groupes qui dicte leurs facon de voir un senegal wolofs, peulh et les autres.
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25 mai 2014 à 21:34, par mame yacine diouf
QUELS SONT LES DIFFETENTES SORTES D ACCROISSEMENT DE LA POPULATION DU SENEGAL
26 mai 2014 à 19:17, par kane
accroissement naturelle
21 janvier 2015 à 15:26, par Lodiamo
Certes l’accroissement naturel eleve est le principal facteur de la croissance demographique maid les flux migratoire y sont pour beaucoup.
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13 mai 2014 à 21:52, par deguene
quelle est la population en 2014
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30 avril 2014 à 20:46, par awa dieng
salut j’aimerai savoir si le taux de mortalité est plus élevé chez les jeunes que chez les personnes âgées.
Merci de me répondre
4 mai 2014 à 17:19, par ami gomis
le taux de mortalite est plus eleve chez les personnes ages
2 juin 2014 à 17:12
c’est chez les personnes âgées
1er décembre 2014 à 21:16, par moussa
elle est plus élevée chez les personnes agées
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10 avril 2014 à 13:57
postez des commentaires d’intellectuels au lieu de passer votre temps à dire des bêtises-ces résultats proviennent d’enquêtes réalisées sur le terrain donc il n’y a rien de subjectif
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28 mars 2013 à 13:56, par cococaca
yoo c’esta aaa woloooooooofézsj"ef proutalkaliboukaké
9 mai 2013 à 00:16, par Karim Hanne
la question est que le terme toucouleur est une insulte lancée à toute une communauté et retenez ceci : on nomme doudou afo diolfoube so wonani goudio wona penoowo maayata reednaani .Demandez à un traducteur et constaterez messieurs que toutes ces appellations ne sont pas les nôtres. Chez nous le ridcule tue !!!
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23 novembre 2012 à 16:06, par Abdoulaye Sylla
P.S. : Les dioulas vivent aussi, en grand nombre en Côte d’Ivoire.
18 décembre 2012 à 12:12, par PAPE DIOP
pourquoi une population si jeune et trop de chômage ?
c’est vraiment injuste
la faute a qui ?
15 février 2013 à 06:56, par Daouda
Oui c’est injuste il faut : Dévellopé l’agriculture Encadrer les paysant pour qu’il obtiennne de maillleur rendement Creuser des forage pour l’irrrigation Creé des emploie pour la jeunessse rurale
5 mars 2013 à 18:08, par mimi
merde c est pas du tout ca je m en conte balance espece mort de rire
20 janvier 2014 à 22:17, par yaya kasse
mdr drole de parcours
25 janvier 2014 à 10:28, par moustapha gueye touba
cest le gouvernement du senegal
1er décembre 2014 à 21:22, par moussa
cé graaaace a la generosité des populations autochtones Lebous et Sereres
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23 novembre 2012 à 16:02, par Abdoulaye Sylla
Je voudrais bien savoir ce que vous mettez dans le terme « Mandingues ». Je me pose la question dans la mesure où vous semblez mettre sous silence leur existance en Casamance (région de Sédhiou, une partie des régions de Kolda et de Ziguinchor).
Pour votre gouverne, je vous signale que dans grand groupe Mandingue (déformation de « Mandinka », « Mandinko », « Maninga » ou « Maningo ») il y a :
– les Mandinkas ou Mandinkos (Madinko lou) en Gambie, en Casamance et à l’ouest du Sénégal Oriental ;
– les Maningas ou les Maningos (Maningo lou), au Sénégal Oriental (Kédougou) et au Sud-ouest du Mali.
Il faut préciser qu’il s’agit du même terme. La différence provient tous simplement des différences d’accent selon le sous-groupe auquel on appartient.
Il faut noter, également, que ces sous-groupes appartiennent à un grand goupe qui comprend les Bambaras et les Khassonkés ou Khassonko lou (au Mali essentiellement), les Maningas de la forêt et les Maninga-Moris, en haute Guinée (Kankan, Kouroussa etc.), les Dioulas au Bourkina-Faso.
Le seul terme qui n’est pas déformé dans la bouche des uns et des autres, selon le sous-groupe auquel on appartient, c’est teme « Nko » (je dis). Cest pourquoi les locuteurs mandingues sont parfois surnommés « Nko lou » ( les Nkos).
27 octobre 2014 à 02:40, par Tonton Makoute
Bien dit et très claire. Tu es un exemple à suivre. Nous devons connaitre nos sources. C’est la base de tout développement. Il faut toujours faire attention et bien filtré les infos issues de ces études.
En plus de ça, je me demande ou sont passé les autres ethnies du Sénégal. Si je ne connaissais pas le Sénégal, je serais porté à croire qu’il n’y a ces quelques alors que rien qu’au sud du Sénégal, nous avons en plus des Diolas et des Mandingues : les Baïnouncks premiers habitants de la Casamance, les Mancagnes premiers habitants de ziguinchor ville, on les retrouve aussi le long de la nationale 6, dans la région de Kolda, en Gambie, à Tambacounda et éparpillé partout sur le territoire national. nous avons aussi des Manjaques, des Balantes et beaucoup d’autres ethnies minoritaires dont je parie que vous n’avez jamais entendu les noms. Meme vos sources d’infos ne les connaissent pas
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25 février 2012 à 22:30, par bah
au sénégal, quand on parle de peuls ; on s’empresse de les diviser en toucouleurs et foulbés. or c’est strictement la méme chose. en plus, on les cantonne au fouta et au ferlo. or ils sont très représentés au senegal oriental (tamba, kedougou), en casamence (kolda, sedhiou), et dans le delta du fleuve senegal (rosso, ross bethio ). quand à leur pourcentage, je l’estime au minimum à 30%. enfin, c’est l’ethnie la plus dispersée sur le territoire nationale.
je dis ça parceque j’ai voyagé partout au sénégal.
2 mars 2012 à 22:21, par coolio
diomina, les statistiques sont une sciences qui se rapproches plus de la vérité que des eculubrations gratuites de certains commentateurs ici présents ;
alors vous qui contestaient cette étude scientifique sur quoi vous basez vous pour infirmer ces résultats scientifiques ;
Juste parceque vous vous sentez miniotaires dans cette étude ou vous voulez juste faire entendre votre voix
1er septembre 2012 à 03:39, par sope S.SALIOU
arreter ces polemiques c’est nulles.essayons plutot de faire un tout en nous encrant sur nos valeurs d’origines,mais surtout en nous aimant car lunion fait la force..........mais sene you niak fayda yii moy indi guerre dans le reste de l’afrique
5 janvier 2013 à 13:09, par Bibi
Je suis un jeune Maître en sciences humaines et sociales, anthropologue passionné par l’histoire de mon continent ... domicilié en France.
Si vous me le permettez j’aimerai donner ma petite contribution car Je suis torturé de voir certains commentaires ... Je n’ai pas pu me retenir après avoir hésité. Et de voir les gens se chamailler et gaspiller leur NRJ pour les mauvaises causes m’interpelle.
Chiffres erronés ou exactes cela ne change en rien que la plupart des sénégalais partagent avec d’autres des lignées anciennes communes. Les ethnies que vous connaissez sont des constructions du temps. Ma généalogie montre des origines sérères métissés aux mandingues d’en tant, puis exilés en Casamance ou ils se mélangèrent aux diolas eux même métissés aux peuls J’ai une partie de ma famille diola et une autre serer, des cousins mandings. C’est à cause du matrilignage et du métissage au cours des siècles.
Ya longtemps que je ne m’identifie plus comme un serer ou diola, ou autre ou uniquement sénégalais : je suis ce tout et je suis aussi représentant de ceux que je ne suis pas aussi. Si je pouvais apprendre plus des autres sénégalais j’en serais plus riche. Je suis riche de cet héritage et fier de cette appartenance.
De parler wolof n’est qu’un atout nous pourrons tous communiquer comme il est le cas pour le français et l’anglais qui sont aussi une nécessité pour s’ouvrir au monde. L’influence des wolofs est manifeste même dans la question des castes depuis l’empire du djoloff. Vivons avec le temps présent et laissons mourir nos démons.
Le nombre de tel ou tel compte pour peu...
Certes l’attachement à une tradition est nécessaire pour un fort ancrage et une identité préservée ... cependant honte à nous si nous répétons les mêmes erreurs que nos ancêtres. La roue a tourné en économie de masse. Nos détracteurs nous regardent nous chicorer avec des vrais faux problèmes qu’ils ont créés.
L’Afrique bénéfice d’un retournement de situation qui pourrait être favorable ... à nous d’être plus sages. C’est à cela que sert l’histoire. Sinan le « risque de créer des républiques dans la république » ne sera jamais écarté. Même si le système parasite qui consacre l’entraide ethnique est de mise, ce n’est pas en créant La république des diolas, des puulaar, des wolofs, des serers.... qu’on y arrivera. Mais en consolidant sénégal votre république : « notre grande barque ».
Perso je ne pense pas que notre devise c’est une simple adjonction de mots. Si elle signifie bien quelque chose pour tout un chacun de vous elle doit rester « un peuple (uni et riche de sa diversité, fier de son caractère multiculturel qu’on nous envie) - un but (l’autosuffisance, l’amélioration des conditions de survivance, la défense les uns des autres) - une foi (en notre grandeur d’âme, en notre tolérance des autres, notre capacité tous à montrer notre dévouement pour notre patrie et ses intérêts) ».
6 janvier 2013 à 10:08, par Bibi
Je suis un jeune Maître en sciences humaines et sociales, anthropologue passionné par l’histoire de mon continent ... domicilié en France.
En effet je débute une œuvre qui parle de la grandeur de nos empires et royautés africaines ... Nous avons bien brillé a une époque et notre rayonnement a dépassé les frontières de l’Afrique. Un rayonnement par le courage, l’esprit et la richesse économique que l’on continue à nous convoiter.
Ceux qui pourraient me donner des détails historiques et des traits culturels de leurs ethnies sont les bienvenus. Vous êtes tous les bienvenus quelque soit votre provenance. Je suis fasciné par les lignages, les castes, la spiritualité, les prédispositions et caractéristiques culturelles, les coutumes, les rites de conciliation en cas de conflit par exemple, les usages et coutumes, le degré de tolérence des étrangers ou d’autharcie.
La seul condition c’est d’être africain.
Nhésitez-pas à me contacter par mail
bira.c.diouf gmail.com
En vous remerciant d’avance.
29 mars 2014 à 18:48, par Diallo
c msg adresse le gouvenement de paye cet pa nrmale les citoyent se fatigue dans sont paye on doit liberté dans vtre ka meme
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