Ces villages se distinguent comme des destinations convoitées par ceux qui aspirent à s’établir dans un environnement serein tout en restant enracinés dans leur riche patrimoine culturel. C’est du moins l’avis unanime de ces Sénégalais, revenants des quatre coins du monde. Si certains ont choisi cette région pour y savourer la quiétude estivale, d’autres ont été séduits par les promesses florissantes qu’elle offre en matière d’affaires.
La beauté naturelle, summum d’un art de vivre paisible.
Pour beaucoup, l’idée de revenir au pays n’est pas seulement une question de proximité géographique, mais aussi une quête profonde d’identité et de quiétude. Malgré les difficultés d’adaptation, racontées par Caroline Mbengue, cette partie du littoral fait l’objet de convoitise pour les Sénégalais de l’extérieur souhaitant retrouver leur chez-soi.
Également, cette recherche de stabilité, loin de l’effervescence de la capitale, est aussi soutenue par Mame Diarra Ba. Pour cette dernière qui a sillonné le pays de la Téranga, « ici, l’avantage, c’est qu’on est entre terre et mer. Et avec les montagnes, c’était quelque chose d’exotique qui nous intéressait », a-t-elle confié.
Investir dans ces communes : une opportunité à ne pas manquer
Cette région n’est pas seulement attrayante en termes de qualité de vie, de plages et de belles villas, mais elles offrent par ailleurs d’excellentes opportunités d’investissement dans des secteurs tels que l’immobilier, le tourisme et l’artisanat, entre autres. Par ailleurs, cette destination préservée, où le prix du foncier est encore très attractif, représente des potentialités économiques intéressantes pour les investissements locatifs par exemple.
Toutefois, « Je pense que c’est l’endroit idéal seulement, il faut aller vite. Les prix commencent à grimper, mais ça reste encore raisonnable, mais vraiment très, très raisonnable par rapport à Dakar », a affirmé, Amadou Seck.
Cet appel à l’investissement est aussi soutenu par son compatriote de retour au pays pour les affaires. Selon Amadou Fall, « Les terrains ne sont encore pas chers parce que les prix vont forcément augmenter. (...) Dans les années à venir, les terrains vont prendre un peu plus de valeur. En conséquence, c’est maintenant qu’il faut rentrer » a-t-il averti.
Yenne, Toubab Dialaw et Popenguine se révèlent être bien plus que de simples endroits pour les touristes. Ce sont des points de connexion profonde avec la culture sénégalaise, offrant une qualité de vie incomparable à ceux qui choisissent de s’y installer. Néanmoins, cet environnement naturel risque d’être perturber suite au projet du port de Ndayane
Ce chantier ayant démarré depuis plusieurs mois, risque de transformer une grande partie de la région en zone industrielle.
8 mai à 10:04, par MASSOGUI
Cette zone est déjà menacée et détruite par la construction du port de Ndayane. La plus grande catastrophe écologique sur le littoral ouest africain avec plus de 6 Km en eau profonde et une emprise de 1200 hectares sur le continent. En plus 600 Hectares ont été attribués sur la zone à DPW pour des entrepôts et autres infrastructures. Si vous chercher la quiétude et un environnement saint cette zone n’est pas recommandée. Le crépitement des grues à remplacé le bruit de la vague berceuse . Je me bats contre l’accaparement des terres des populations par les multinationales et la préservation de l’environnement, mais on l’impression que les personnes qui viennent acquérir des maisons sur sites sont du coté des prédateurs fonciers, le sort des populations locales ne les intéressent pas
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5 mai à 15:32, par Bob Sérère
Un endroit qu’il faudrait préserver qu’il ne devienne surtout pas comme Saly
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4 mai à 20:18, par véronique loze/ka
Bjr. Je voudrais connaître si des terrains pour construire serait disponible. Merci du retour
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