Pour perpétuer ce geste, triomphe de la foi sur le doute et le septiscisme, la Sounah recommande, à ceux qui ont les moyens, d’ immoler une belle bête (bélier ou mouton castré, bouc ou caprin castré, brebis ou chèvre, taureau ou chameau), après une prière de deux Rakkas (génuflexion). La viande est mangée dans la famille et donnée aux nécessiteux.

Une grande fête au Sénégal
La fête de la Tabaski est un moment fort de la vie religieuse et culturelle au Sénégal.
La recherche du mouton (et de l’argent qui permet de l’acquérir) est une activité qui s’entreprend de nombreux jours avant la fête. Les foirails s’installent un peu partout dans la ville, et les bergers peuls sillonnent les rues avec leurs plus belles bêtes, lavées et parées. Les négociations sont interminables. Certains s’y prennent très tôt, d’autres le plus tard possible en espérant que les prix baissent.
La Tabaski est aussi l’occasion de renouveller sa garde robe et d’offrir des nouveaux vêtements aux enfants, qui iront rendre visite aux membres de la famille.
Plus de 200 000 moutons sont en vente dans la ville de Dakar. Quelques gros plans de ceux qui attendent le sacrifice.
18 septembre 2014 à 07:49, par VIEUX FOMBA
Que Dieu garde le SENEGAL et guide son peuple
18 septembre 2015 à 12:30
Dieu est sénégalais monsieur
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