« Benn lam du kangang » dit-on en wolof, c’est-à-dire « Un seul bracelet ne tinte pas ». Cette devise est à l’origine de Kandang, un tremplin qui tel des bracelets qui s’unissent pour tinter ensemble, a pour objectif de fédérer les professionnels du secteur contribuant à la formation, la création, la production, la diffusion et la transmission des musiques actuelles du Sénégal.
Dans un double souci de démocratisation et de visibilité de ce mouvement émergent des musiques actuelles, Kandang se veut ainsi être une plateforme force de proposition, de fédération et de renforcement capacitaire pour les divers acteurs de cette nouvelle scène musicale.
Des informations et des ressources pour que les artistes puissent se développer
Le projet, porté par Ibaaku, musicien sénégalais, vient de lancer une plateforme en ligne qui propose des masters class avec les professionnels de l’industrie musicale sénégalaise et un premier répertoire des acteurs.
La première rencontre, virtuelle, a été organisée le 6 février dernier. Quand les conditions sanitaires le permettront, les artistes espèrent organiser des journées d’ateliers en présentiel.
Parmi les premier a participer à ce projet, on compte Alibeta, Boléro, Cortega, Diamond Voice & Afrikiyo, Guiss Guiss bou Bess, I-Science, Joseeph, Maemto, Mariaa Siga, Meth Skillz, Moustapha Diop, Sahad, Sym Sam, Yoro Ndiaye...
27 mars 2021 à 23:27, par Juju.
« Un seul bracelet ne tinte pas et qu’il faut plusieurs bracelets pour faire une symphonie de timbres et de couleurs »
La musique c’est la vie.
One love.
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