Ce single « représente pour moi ce que l’Afrique sait le mieux faire....célébrer la vie », explique l’auteur dans une note de présentation. « Fi Nekhna » évoque le continent africain « dans sa complexité, sa soif de liberté, sa volonté de briser les clichés » dont il fait l’objet, écrit-il.
Ce titre « vient ouvrir une nouvelle porte dans la musique africaine sans renier nos traditions. On y retrouve toute une Afrique accompagnée du reste du monde, non pas en help service, mais avec respect et admiration », soutient le musicien sénégalais.
À travers cet opus, écrit-il, les instruments traditionnels « enregistrés en live se libèrent enfin de leurs lignes mélodiques habituelles pour flirter avec la soul, la pop, le reggae sans (rien perdre) de leur âme, en écho a l’énergie exponentielle » de la jeunesse africaine.
« L’Afrique, je l’aime telle quelle est, avec ou sans ses richesses et sa pauvreté, avec ou sans sa beauté et sa complexité, avec ou sans ses lenteurs et ses extraordinaires capacités, raison pour laquelle je ne lui demande guère de changer, mais de (..) se mélanger encore et encore », écrit-il.
2 février 2016 à 00:59, par pako
Excellent really proud about u
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