L’offre sénégalaise en formation supérieure est en constante progression et les autorités comptent bien en faire un outil de développement. Trois priorités pour y parvenir : accroitre l’accès, augmenter la qualité de l’enseignement et de la recherche et rendre la gestion plus efficace.
Une évolution impressionnante
La dernière décennie a vu croître de manière très importante le nombre d’établissements d’enseignement supérieur. On compte aujourd’hui près de 130 écoles et instituts privés agréés par le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche et trois nouvelles universités publiques dans les régions, en plus de celles de Cheikh Anta Diop de Dakar (UCAD) et Gaston Berger à Saint-Louis.
Le nombre d’étudiants a naturellement fortement augmenté. On est passé de 91 000 en 2008 à un peu plus de 100 000 en 2013 ; 71 % d’entre-eux se sont retrouvés dans les institutions publiques, le reste dans le privé. À l’UCAD évoluent 75 000 étudiants de 44 nationalités différentes, 2 573 enseignants (permanents et vacataires) et 1 456 personnels administratifs techniques et de service. Même si le taux d’encadrement reste insuffisant (1 enseignant pour 47 étudiants alors que la norme internationale fixée par l’Unesco est de 1 pour 27), la situation s’améliore progressivement.
Diplômes d’État, diplômes d’écoles
Une enquête récente sur la qualité de l’enseignement supérieur indique que plus de 25 filières de formation ont été mises en place dans le privé, la plupart dans le secteur tertiaire (informatique et gestion, secrétariat de direction, comptabilité-gestion, banque-finance, gestion des entreprises etc.).
Les diplômes décernés sont des BTS pour la plupart des établissements, sur la base des programmes officiels élaborés par l’État, délivrant ainsi des diplômes d’Etat. Certains instituts offrent aussi des formations sanctionnées par des diplômes d’écoles. Quant aux diplômes et programmes de formation de 2e et 3e cycle, ils s’inspirent de plus en plus de la réforme LMD à partir de partenariats avec des universités des pays du Nord.
Le coût global d’une formation varie entre 500 000 et 1 200 000 FCFA. Les frais de scolarité mensuels varient généralement entre 25 000 et 120 000 F CFA selon la filière et le cycle.
Politique de qualité
Les autorités de tutelle ont mis en place une politique de qualité s’appuyant sur différentes mesures. L’alignement sur le système LMD d’abord, s’inspirant du modèle mis en place en Europe : licence de 180 crédits (3 ans), suivie du master de 120 (2 ans) et enfin du doctorat. Ensuite la mise en place d’une Autorité nationale d’assurance qualité, l’ANAQ, responsable de l’évaluation des filières et des institutions.
Enfin, l’obligation pour les bacheliers de s’inscrire en ligne sur le site www.campusen.sn pour être admis dans les universités publiques et privées. Cette innovation permettra un meilleur suivi de chaque étudiant qui pourra être suivi tout au long de son cursus universitaire. Pour cette année, le processus d’orientation et d’inscription des nouveaux bacheliers se termine à la fin du mois d’octobre.
16 août 2018 à 10:21, par LIKIBI
Bonjour,je suis congolais de Brazzaville je suis en licence2 de Génie civil,je voudrai continuer ma formation dans une des écoles au Sénégal est-il possible ??
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18 avril 2017 à 08:35, par boris andre lognyo
Bonjour je suis camerounais j’ai un baccalauréat D et j’aimerais poursuivre mes etudes dans la filiere genie civil au senegal es ce que vous pouve me renseigne sur le condition a remplir pour s’incrire et les modalite merci
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21 janvier 2017 à 18:31, par WOWE DAMOU Jonathan DONALD
Bonsoir je suis un étudiant camerounais titulaire d’un Baccalauréat D et je souhaite poursuivre mes études supérieur au Sénégal dans le domaine du génie civil. J’ai appris qu’il y’a de très bons institutions qui forment dans ce domaine là.Je voudrais savoir si c’est possible et les procédure à suivre pour s’inscrire ainsi que les frais de scolarités à verser.Merci
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23 décembre 2016 à 01:27, par fatima yattara
Bonjour je suis nouvelle bachelière je réside en cote d’Ivoire et on m’a orienté en licence de psychologie a l’Université de cocody a abidjan .
Néanmoins je souhaiterai continuer mes études au Sénégal et y obtenir mes diplôme s . merci de m’aider et de me guider
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7 décembre 2016 à 11:55, par Tanzilou
Bonjour,je suis comorienne ,j’ai obtenu ma licence en Géographie.
j’aimerai obtenir une inscription en ligne dans une des Universités Sénégalaise afin de poursuivre en Master professionnel au SENEGAL comment puis-je m’y prendre svp !!! merci
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6 février 2016 à 22:26, par TCHINGUELIEBE
je suis un etudiant a lecole supereure des affaires a lome ESA .je fais la communication des entreprises deuxieme annee .je voulais continuer la licence et le master chez vous dans une ecole de formation professionnelle
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15 octobre 2015 à 21:26, par SISSOKO Makan
Bonsoir, je suis malien, j’ai obtenu ma maitrise en analyse quantitative et politique économique. J’aimerais poursuivre mes études en statistique en master au Sénégal. Je crois que le Sénégal est la meilleure destination des études supérieures en Afrique francophone.
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31 août 2015 à 21:12, par kann
bonsoir a vs je suis de nationalite guineenne je suis en licence 3 comptabilite et gestion et je voudrai aprofondir mes etudes au senegal dans une de ses universites voir jusqu a l expertise alors j aimerai connaitre les produre et les frais ? svp aider moi
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20 mai 2015 à 12:29, par Merveille Ipari
Bonjour je suis Merveille Ipari, congolais de Brazzaville détenteur d’une licence en communication d’entreprise. j’aimerai obtenir une inscription en ligne dans une des Universités Sénégalaise afin de poursuivre en Master professionnel au SENEGAL comment puis-je m’y prendre svp !!! merci
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27 novembre 2014 à 01:29, par ibrahima sy
salut je suis un nouveau bachalier desirant avoir faire de vos eleves de management svp
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