Dès l’ouverture, le ballet des minis tops, en rouge bleu ou jaune, de Marie Koïta nous emporte dans une atmosphère joyeuse et énergique. Les enfants sont les rois de la soirée et le prouvent. Ils défilent avec aisance sur la piste avant de laisser la place aux plus grands.
Des coupes légères, des tissus aux couleurs chaudes et estivales où s’entremêlent avec discrétion broderies et perles étincelantes, Anne réussit avec brio le mariage de l’orient et de l’occident.
Quand les mannequins de Paco Ndiouli apparaissent, il en résulte un festival d’imprimés. Il reste dans le même style et propose des vêtements jeunes et sexy, sans vulgarité.
Place à la nouvelle collection de Toolah créations, « Feu, Femme, Flamme » ! Angélique reste identique à elle-même, mais légèrement différente, revisitée. Avec une mode aux harmonies subtiles, elle nous propose une garde-robe qui a du chien.
Seul couac dans cette parade de couleurs et de matières, la durée et le démarrage tardif du défilé.
Au final, divers talents réunis pour que les enfants de la pouponnière de Mbour passent un joyeux Noël.